L'infrastructure RMN-THC met à la disposition de la communauté scientifique un ensemble de spectromètres RMN à très hauts champs parmi les plus performants associé à une expertise et un support scientifique reconnus au niveau international.
L'infrastructure RMN-THC est constituée d'équipes de recherche en RMN qui opèrent et encadrent l'utilisation des spectromètres RMN à très hauts champs français.
Ce réseau est une structure d'accueil ouverte à la communauté scientifique nationale et internationale. Il est décentralisé sur 7 laboratoires de recherche et compte 11 spectromètres de RMN à THC de 750Mhz à 1GHz. Les possibilités d'accès à des équipements de pointe sont accompagnées d'une expertise et d'un support scientifique reconnu au niveau international.
Pluridisciplinaire, le réseau couvre un large domaine d'applications en biologie, chimie, physique, sciences de l'Univers, médecine... 30 % du temps disponible sur ses spectromètres RMN est distribué par l'intermédiaire d'appels à projets. L'infrastructure permet ainsi de fédérer, de dynamiser et de valoriser la recherche ainsi que de coordonner et d'optimiser les investissements nationaux dans le domaine de la RMN à très hauts champs.
Au niveau international, la France est extrêmement bien placée en détenant deux spectromètres 950 MHz sur les cinq existants, un spectromètre 1 GHz, le plus puissant au monde, ainsi que des équipements uniques (cryosondes, DNP et sondes de RMN solide). La position de leadership de la France sera renforcée par l'acquisition d'un spectromètre 1,2 GHz qui sera installé à Lille en fin de décennie.
RMN, biologie structurale, médecine et santé, matériaux, biosolide, chimie supramoléculaire, DNP, imagerie, métabolomique, diagnostic, environnement, catalyse, électrolytes, polymères, nanomatériaux, supraconducteurs
2016 Nouveau spectromètre 1,2 GHz
Projet 1,2GHz : 15 Millions d'euros
1,2 Millions d'euros
30,83 E.T.P.
Création : 2007
Exploitation : 2008
La plateforme de Lyon-Grenoble (RALF-NMR) fait partie du projet iNEXT.
Coordinateur de l'infrastructure : E. Boelens (Univ. Utrecht , NL)
Pays partenaires : 23 partenaires
Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation