Publié le 05.06.2018

Biologie et santé

Le secteur biologie-santé concerne des disciplines très diverses : biologie, physiologie, médecine, épidémiologie, pharmacie, biothérapies, technologies pour la santé, santé publique, sciences humaines et sociales. Les recherches dans ces disciplines représentent plus du tiers de l’ensemble des publications scientifiques françaises.

Crédits :
Jean-Claude MOSCHETTI / ECOBIO / CNRS Photothèque

Observation d'une micro-cage dans laquelle sont conservés les pucerons collectés dans un champ de blé

Le secteur biologie et santé

Quand l'hypothèse est soumise à la méthode expérimentale elle devient une théorie, tandis que si elle est soumise à la logique seule elle devient un système. 

Claude Bernard

 

 

Recherche en santé

 

Le domaine d’intérêt du secteur biologie-santé concerne des disciplines très diverses : biologie, physiologie, médecine, épidémiologie, pharmacie, biothérapies, technologies pour la santé, santé publique, sciences humaines et sociales. Les recherches dans ces disciplines représentent plus du tiers de l’ensemble des publications scientifiques françaises.

La recherche en Santé repose traditionnellement sur la confrontation des données issues de l’observation à celles issues de l’expérimentation. Les recherches en sciences de la vie et de la santé sont actuellement redimensionnées par de nouvelles méthodes d’observation dites "non-biaisées", qui génèrent des volumes considérables de données, dont l’exploitation, sous réserve qu’elle soit faite de manière pertinente, peut livrer de nouvelles clés de la connaissance du vivant et de l’humain. Cette mutation en cours est un élément de rupture dont les enjeux, scientifiques aussi bien que sociétaux et économiques, sont considérables.

Parce qu’elle concerne la plupart des disciplines de la biologie et de la santé, cette mutation est susceptible de faciliter la création d’un continuum entre des domaines de recherche jusqu’ici séparés. Ces raisons ont conduit les experts interrogés pour la préparation de la Stratégie nationale de recherche et d'innovation à retenir la production de données de qualité, leur partage, et leur intégration pour générer de nouveaux modèles comme des priorités stratégiques du défi sociétal  "Santé et bien-être". Pour autant, les nouvelles approches conduisant à la production de données massives ne sauraient se substituer aux approches expérimentales.

L’expérimentation occupera demain une place d’autant plus grande que les hypothèses sont produites tout aussi massivement que les données sur lesquelles elles reposent, et que ces hypothèses doivent être validées par l’expérience pour justifier des actions fondées par la preuve. Les analyses stratégiques proposées par le secteur biologie-santé de la D.G.R.I. sont élaborées en tenant compte de ce contexte associant mutation et constance dans les approches méthodologiques des recherches en science de la vie et de la santé.  

 

L'alliance des sciences de la vie et de la santé "Aviesan"

 

L'alliance des sciences de la vie et de la santé Aviesan rassemble les principaux acteurs de la recherche en biologie et en santé.

Le Directeur Général de l’INSERM, le directeur de l’Institut des Sciences Biologiques du C.N.R.S., le directeur des sciences du vivant du C.E.A., le directeur général de l’Institut Pasteur, et le représentant de la Conférence des Présidents d’Universités (URL) siégent à son bureau exécutif.

Mission

La mission d’Aviesan est la coordination scientifique des grandes thématiques de recherche, transversales à tous les organismes, et la coordination opérationnelle des projets, des ressources et des moyens.

Aviesan comprend neuf Instituts Thématiques Multi-Organismes (ITMO). L’alliance produit des analyses stratégiques et des recommandations pour la programmation scientifique et la mise en œuvre opérationnelle de la recherche en sciences de la vie et de la santé. Aviesan est l’interlocuteur privilégié du secteur biologie-santé du ministère (D.G.R.I.).

 

La programmation des financements de recherche sur projets

Programmation de l'Agence nationale de la recherche (A.N.R.)

L'Agence Nationale de la Recherche a pour mission la mise en œuvre du financement de la recherche sur projets en France. Sur un mode de sélection compétitive, qui respecte les standards internationaux, l'Agence s’attache à contribuer au développement des sciences et des technologies et à cibler les efforts de recherche sur des priorités économiques et sociétales. Celles-ci sont définies en concertation avec les acteurs de la recherche, représentés par Aviesan dans le domaine des sciences de la vie et de la santé. Ces priorités s'inscrivent dans un cadre fixé au niveau français par l'Agenda stratégique "France Europe 2020"  et la Stratégie nationale de recherche, et au niveau européen sur le programme cadre Horizon 2020.

Un appel d'offre générique est ouvert annuellement et décliné en grands défis sociétaux, dont l'un "Vie, Santé et Bien-être" concerne plus directement le secteur biologie-santé géré par le ministère. La recherche collaborative en Europe et dans le monde est couverte, en particulier, par l'appel à projet générique (avec un instrument particulier les projets de recherche collaborative – International) et des appels à projets européens et internationaux spécifiques ciblés.

Via son secteur biologie-santé, le ministère participe à la définition de la programmation de l’A.N.R. dans le domaine des sciences de la vie et de la santé, tant pour le défi sociétal "Vie, Santé et Bien-être" de l'appel d'offre générique que pour les appels plus ciblés, en particulier multilatéraux comme les ERANET et les Programme conjoints (Joint Programming Initiatives, JPI).  Un représentant du secteur siège au Comité de pilotage scientifique correspondant, l'instance qui formule des recommandations sur les éléments du plan d'action annuel de l’ANR, notamment sur l'évolution des instruments  et leur adéquation aux objectifs du défi.

 

Le Programme cadre européen Horizon 2020

Le programme HORIZON 2020  regroupe les financements de l'Union européenne en matière de recherche et d'innovation et s’articule autour de trois grandes priorités : l’excellence scientifique, la primauté industrielle et les défis sociétaux.

Le ministère, au sein de la D..G.R.I., pilote et anime le réseau de Points de Contact Nationaux, afin d’informer, sensibiliser et conseillers les porteurs de projet potentiels sur les opportunités de financement d’Horizon 2020.

Des représentants de la D.G.R.I. siègent dans le comité de programme santé de la Direction Générale de la Recherche et de l’Innovation de la Commission Européenne, où sont élaborés les programmes bi-annuels d’appels à projets relevant du défi "Santé, évolution démographique et bien-être". Leur mission est de faire valoir les priorités françaises définies par les Groupements Thématiques Nationaaux (G.T.N.), en premier lieu le GTN "Santé, évolution démographique et bien-être", qui réunit des experts scientifiques des institutions de recherche, de l’alliance Aviesan, et des industries de santé françaises.

Le prochain programme d’appels à projets d’HORIZON 2020 pour les années 2016-2017 sera élaboré au cours de l’année 2015.

 

Le Programme Investissements d’Avenir

 

Logo Investissements d'Avenir

Le premier Programme Investissements d’Avenir a financé, à l'issue d'appels à projets pilotés par l'A.N.R. en 2010 et 2011, 171 actions dans le domaine de la biologie et de la santé. Il s’agit de Laboratoires d’excellence (labex), d’équipements d’excellence (Equipex), des Instituts Hospitalo-Universitaires (I.H.U.), des cohortes, des Infrastructures nationales en biologie-santé, des Démonstrateurs pré-industriels en biotechnologies, de l’Institut de Recherche Technologique Bioaster, et des actions Bioinformatiques et Nanotechnologies.
Le suivi de ces projets est assuré par l’A.N.R. pour la partie financière, par le Commissariat Général aux Investissements pour la gouvernance, et par la D.G.R.I. du mnistère pour les aspects scientifiques.

Le deuxième Programme Investissements d’Avenir comprend également des actions dans le domaine de la biologie et de la santé, qui seront mises en œuvre par l’A.N.R.. Les résultats de l’appel à projets "Recherche hospitalo-universitaire" seront publiés en juillet 2015.

Un appel en faveur du développement de la biologie des systèmes pourrait être proposé dans le courant de l’année 2015.

 

Les soutiens aux grandes infrastructures de recherche

Le groupement d'Intérêt Scientifique IBISA

 

IBISA - Groupement d'intérêt scientifique Infrastructures en biologie santé et agronomie

Le Groupement d'Intérêt Scientifique (GIS) "Infrastructures en Biologie Santé et Agronomie" (IBISA), créé en 2007, joue un rôle clé dans l'animation et la structuration nationale des infrastructures en biologie-santé. Il coordonne une politique nationale de labellisation et de soutien aux plateformes et infrastructures en sciences du vivant. Il promeut des activités d'animation (écoles et ateliers thématiques) autour de l'activité des plateformes. L'action du GIS-IBiSA a fait progresser ces infrastructures et leur a permis d’accéder aux réseaux européens.

Le GIS IBISA impose une  démarche qualité, une prise en compte de la réalité des coûts et la mise en place d'une facturation rigoureuse des prestations. Le GIS-IBisa a engagé une démarche prospective en identifiant les développements à favoriser, les nouvelles technologies et les nouvelles infrastructures à promouvoir.

Le GIS est soutenu financièrement par le ministère (D.G.R.I.). Il est doté d'un Comité de Pilotage, où siègent les directeurs ou les représentants des entités participantes (INSERM, C.N.R.S., INRA, C.E.A., INRIA, INCa, C.P.U. et les deux directions du ministère en charge de l'Enseignement Supérieur de la Recherche, la D.G.R.I. et la D.G.E.S.I.P. Le secteur Biologie-Santé y représente la D.G.R.I.

Infrastructures en biologie santé du premier Programme Investissements d’Avenir

Le premier Programme Investissements d’Avenir a permis le financement de 23 infrastructures nationales en Biologie Santé (URL). Ces infrastructures couvrent un champ thématique extrêmement large.

appel à projets 2010
appel à projets 2011.

Plusieurs projets de l’action "infrastructures en biologie santé" sont les nœuds français des infrastructures européennes ESFRI. Leur suivi est donc indissociable de celui de la participation française aux infrastructures européennes. Le secteur est représenté dans les bureaux exécutifs de plusieurs des infrastructures européennes (EMBRC, ELIXIR... et participe au Strategy working group de l'ESFRI en Santé/Alimentation en charge de la sélection des projets bénéficiant du label ESFRI, et de ce fait éligibles pour des soutiens financiers de la Commission Européenne.

Les feuilles de route sur les infrastructures de recherche nationales et européennes (ESFRI,  sont actuellement réactualisées de manière coordonnée.

 

Le Plan cancer 2014-2019

Plan Cancer

Le troisième plan cancer a été annoncé  par le président de la république en février 2014. Il  comporte 17 objectifs conduisant à 185 mesures. Une priorité majeure est déclinée à travers l'ensemble de ses objectifs : réduire les inégalités et les pertes de chance face aux cancers, que ce soit lors du diagnostic, de la prise en charge ou pendant l'"après-cancer".

Le Plan porte aussi une attention particulière aux besoins des enfants, adolescents et jeunes adultes atteints de cancer, pour faire progresser l'accès à l'innovation et améliorer encore la qualité des soins, ainsi que l'accompagnement des enfants et de leurs familles pendant et après la maladie.

Après avoir contribué à l’élaboration du plan, le ministère (D.G.R.I.) est en charge de la coordination et du suivi des mesures impliquant la recherche, notamment sur les actions de repérage, d'évaluation et de valorisation des innovations technologiques et médicamenteuses.    

Le déploiement des mesures est assuré par l’Institut National du Cancer (InCa) et par l'I.T.M.O. Cancer de l’alliance Aviesan.   

 

Le Plan national maladies rares

Il existe environ 7000 maladies rares qui touchent près de 3 millions de patients en France.

Le premier plan maladies rares (2005-2008) a permis des avancées significatives avec notamment, la création des Centres de Référence et le financement de 241 projets de recherche clinique. Le deuxième plan maladies rares (2011-2016) comprend 47 actions et est orienté autour de 3 axes:

  1. Améliorer la qualité de la prise en charge des patients,
  2. Développer la recherche sur les maladies rares,
  3. Amplifier les coopérations européennes et internationales.
Fondation Maladies rares

Les actions en faveur de la recherche sont suivies au ministère par la D.G.R.I. Elles concernent la création de la Fondation Maladies Rares, le financement de cohortes de patients (dont le projet RADICO soutenu par le premier Programme Investissements d’Avenir), le développement des plateformes de génotypage, le développement de modèles animaux et cellulaires, le site d’information sur les maladies rares Orphanet, la base de données CEMARA et la Banque Nationale des Maladies Rares (BAMARA). 

 

Le Plan national sur les maladies neurodégénératives

Les maladies neuro-dégénératives (M.N.D.) constituent un défi pour notre système de santé et la politique de recherche, en France comme à l’international. Après trois plans dédiés à la maladie d’Alzheimer, première maladie neuro-dégénérative en France, le Président de la République a décidé d’élargir le nouveau plan à l’ensemble des maladies neuro-dégénératives, dont les maladies de Parkinson, d’Huntington, les maladies du motoneurone, les amyotrophies spinales et spino-cérébelleuses, les maladies à prion, et à la sclérose en plaque. Il comprend 4 axes et 96 mesures.

L’axe recherche vise à développer et à mieux coordonner les efforts de recherches.
Les deux piliers de la recherche sont:

  1. dynamiser et mieux coordonner la recherche sur les M.N.D.,
  2. mieux comprendre les MND pour prévenir leur apparition et ralentir leur évolution.

Le plan est conduit par un comité de pilotage associant l’ITMO neuroscience, cognition, neurologie et psychiatrie de l’alliance Aviesan, les alliances Athena et Allistene, et la Fondation Alzheimer. Après avoir contribué à l’élaboration du plan, la D.G.R.I. du ministère est en charge de son suivi.

Une action nationale intimement associée à des actions internationales

L’action nationale en faveur de la recherche sur les maladies neurodégénératives est intimement associée à des actions internationales : 

  • La Programmation conjointe européenne sur les maladies neurodégénératives (JPND) a pour but de mettre en commun les analyses stratégiques et les financements de la recherche sur les maladies neurodégénératives entre les 28 pays membres. La direction du JPND est assurée par la France (Pr P. Amouyel).
  • L’Organisation Mondiale de la Santé a désigné la démence comme une priorité de santé publique. Une action globale de lutte contre la démence (Global Action Against Dementia, GAAD) a été créée lors d’un sommet du G8, avec comme priorités de mesurer l’impact sanitaire, social et économique de la démence, de prévenir la démence et améliorer le soin, d’estimer l’efficience des prises en charge existantes, et d’Identifier les causes des démences pour trouver des traitements.
    L’implication de la France dans cette action est inscrite dans le volet recherche du plan maladies neurodégénératives (mesure 66).

 

Les addictions

La Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives, (MILDECA) est un organisme français placée sous l'autorité du Premier ministre qui anime et coordonne les actions de l'État en matière de lutte contre les drogues et les toxicomanies. Le ministère, au sein de a D.G.R.I., est chargée de mettre en place les actions de recherche concernant les addictions.

 

Santé-environnement, projet "one health" 

Introduit en 2008 sur l'initiative d'institutions internationales (F.A.O., O.i.E, O.M.S., UNICEF et World Bank), le concept  "one health" ("un monde, une seule santé"), considère que la sécurité sanitaire doit être appréhendée à l'échelle de la planète, et que la santé humaine n’est pas séparable de la santé animale ni de celle des écosystèmes.

Cette prise de conscience s'est développée suite à l'expansion mondiale  de la  grippe aviaire en 2003, qui a mis en évidence la mondialisation croissante des risques sanitaires et l'importance de l'interface homme-animal-environnement. La propagation de la résistance aux antibactériens illustre puissamment ce concept. Les initiatives nées de l’analyse "one health" visent à coordonner les décisions des différents acteurs aux niveaux national, européen, puis transcontinental, dans la perspective d’un plan d’action global au niveau mondial.

 

Manipulation virtuelle d'une molécule à l'intérieur d'une protéine

En France, la problématique "one health" a été retenue comme un domaine prioritaire de la stratégie nationale de recherche. Au sein des secteurs biologie-santé, environnement et sciences humaines du ministère est proposé de mettre en place une initiative au niveau national, dans un premier temps sur la thématique de la résistance antibactérienne.

 

Le Conseil stratégique des industries de santé (C.S.I.S.) et le Comité stratégique de filière des industries de santé (C.S.F.).

Créé en 2004 et placé sous l’égide du Premier ministre, le Conseil Stratégique des Industries de Santé est un lieu informel de concertation et d’échanges entre l’Etat et les industries de santé destiné à maintenir et accroître la recherche, le développement, la production et l’innovation en santé sur le territoire français. En 2013, le CSIS a été fusionné avec le Comité Stratégique de Filière Industries et Technologies de santé, l’un des 34 comités de filière portés par le Ministère du redressement productif et le conseil national de l'industrie. Les analyses partagées ont conduit à des mesures dont certaines concernent l’attractivité de la France comme lieu de recherche et de développement pour les produits de santé. La DGRI a participé à l’élaboration de ces mesures, veille à leur déploiement, et représente le MENESR au comité de pilotage réunissant les signataires du contrat. Elle participera également aux travaux du prochain CSIS dès sa mise en place en 2015.

 

Le Comité économique des produits de santé (C.E.P.S.)

Le Comité économique des produits de santé est en charge de définir le prix des médicaments remboursables par l'assurance maladie. Au ministère, un représentant de la D.G.R.I. siège aux réunions hebdomadaires du C.E.P.S., et donne un avis consultatif sans droit de vote sur le caractère innovant des produits et leur valeur ajoutée pour le traitement des patients, ceci afin que le tarif décidé reflète le degré d’innovation.

 

Les opérateurs du M.E.N.E.S.R.

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Au ministère, la D.G.R.I. prépare les lettres de mission et les contrats d’objectifs des organismes et agences de recherche en sciences de le vie et de la santé placés sous tutelle de l’Etat, dont l’INSERM, le C.N.R.S.-INSB, le C.E.A.-SDV, l’InCA , l’Institut Pasteur, l’Institut Curie, l’Institut Gustave Roussy, l’Agence de la BioMédecine, l’Agence Nationale de la Sécurité des Médicaments , l'Institut de Veille Sanitaire, l’Etablissement Français du Sang , Génopole, le Centre d’Etude du Polymorphisme Humain.

 

Actualité

Recherche en santé : un plan d'action pour une programmation plus lisible (15/07/2015)

 

Agenda France Europe 2020

La santé a été identifiée comme l'un des 10 défis sociétaux de la stratégie nationale de recherche.

En savoir plus sur l'Agenda stratégique France Europe 2020

 

La stratégie nationale de santé

"Pour répondre aux défis de la santé du 21e siècle - la réémergence des maladies infectieuses, la chronicité des maladies, les crises sanitaires, l'allongement de la durée de la vie - nous devons améliorer et adapter nos outils de formation, de recherche et de soins."

Présentation de la stratégie nationale de santé (2013)

 

Zoom sur

Investissements d'Avenir

 

Plan Cancer 3 

Le 3e Plan cancer a été lancé le 4 février 2014 par le Président de la République

 

Le Plan cancer 2014-2019 - PDF | 1.31 Mo

 

 

Le rapport de recommandations

 

Santé : un des défis sociétaux du programme européen Horizon 2020

Santé, démographie, bien-être

 

A savoir

La qualité de la recherche française est exceptionnelle dans le domaine de la santé :

- l'INSERM est le premier opérateur à l'échelle européenne,

- l'alliance Aviesan occupe la 5e place mondiale.