L'ESO est une organisation intergouvernementale européenne dans le domaine de l'astrophysique au sol ; 15 états-membres, dont la France, contribuent en proportion de leur PIB. L'ESO construit et gère un ensemble de télescopes au sol installés au Chili, dont certains sont des infrastructures ESFRI.
L'ESO est la principale organisation intergouvernementale européenne dans le domaine de l'astrophysique au sol ; quinze pays européens en sont membres et contribuent en proportion de leur PIB . Courant 2015, le Brésil a ratifié l'accord d'accession au niveau parlementaire et est en attente de la signature présidentielle. Le Chili, pays hôte, n'est pas membre de l'ESO mais bénéficie de 10% du temps d'observation.
Les programmes scientifiques sont très variés, et vont de la planétologie à la cosmologie. A part la physique solaire et l'exploration directe des corps du système solaire, l'ensemble des grandes questions de l'astronomie sont abordées. Les observatoires dépendant de l'ESO sont les suivants :
Astronomie, astrophysique, observatoire, ALMA, E-ELT, VLT/VLT-I, Chili
Quelques centaines de Go/nuit.
Les données acquises par les télescopes sont, après un premier prétraitement automatique sur site, transmises par réseau à Santiago (Chili), puis à Garching (DE) où elles sont archivées.
Les données archivées (aux standards de l'astronomie) sont mises à disposition de l'Investigateur Principal de la proposition et, à l'issue de la période propriétaire de une année, de toute personne qui en fait la demande. Les métadonnées sont également publiques.
Les métadonnées et les données auxiliaires font partie intégrante de l'archive, accessibles via le répertoire de l'International Virtual Observatory (IVOA).
International Virtual Observatory (IVOA).
151,5 Millions d'euros dont 24,14 Millions d'euros de contribution française.
730 ETPT (pas de personnel statutaire français).
Coordinateur de l'infrastructure : Directeur général de l'ESO : Tim de Zeeuw
Pays partenaires : DE, AT, BE, DK, ES, FI, FR, IT, NL, PL, PT, CZ, UK, SE, CH